La face avant perd ainsi son côté batracien pour devenir presque agressive, avec un regard aux sourcils foncés évoquant un peu la Toyota Aygo, tandis que les calandres haute et basse s’élargissent et adoptent des contours plus anguleux. À la poupe, les changement son plus discrets mais on appréciera le nouveau dessin épuré des feux arrière. Ces coups de scalpel bien placés sont accompagnés de nouveaux jeux de jantes 15 et 16 pouces, ainsi que de possibilités de personnalisation élargies à l’extérieur comme à l’intérieur.
La planche de bord, dont la finition était l’un des gros points faibles au lancement, profite d’une nouvelle console centrale noir laqué dont les aérateurs deviennent rectangulaires. Le graphisme de l’instrumentation a quant à lui été revu.
Si l’on retrouve sous le capot les deux trois-cylindres 1.2 à l’identique (80 ch pour l’atmosphérique et 98 pour la version compressée, qui revendique seulement 4,1 l/100 km et 95 g/km de CO2), la Micra enrichit sensiblement sa technologie embarquée. La console centrale accueille ainsi un nouvel écran tactile 5,8″ idéal pour exploiter au mieux la dernière version du GPS NissanConnect 2.0 et la technologie Google Send-to-Car qui permet de préparer la navigation de ses trajets depuis un ordinateur et de l’envoyer automatiquement vers la voiture, sans oublier les informations en temps réel sur le prix des carburants ou la météo.
source:www.autonews.fr