Alexandra Lamy n’est pas du genre à se répandre dans la presse. Notre précieuse actrice française, qui se garde bien d’exposer sa vie privée, s’essaye à l’exercice de l’interview confession. Oui, Alex n’est plus la femme de, et non, elle n’alimentera pas les odieuses rumeurs sur son couple.
L’ex-Chouchou de la série culte Un gars une fille a parcouru bien du chemin. Et en 2012, à l’affiche de la pièce de théâtre La Vénus au phacochère, Alexandra Lamy est plus épanouie que jamais. Pour l’émission Sept à Huit, interrogée par Thierry Demaizières, Alexandra évoque son couple, et la place occupée par son mari Jean Dujardin. «Les réalisateurs et les réalisatrices ont besoin d’un peu de fantasme sur leur actrice principale. Or, Alexandra Lamy, il y a toujours l’ombre de Dujardin. Quelque part je suis toujours la ‘femme de’. Mais aujourd’hui les choses s’arrangent. Ça a été long et périlleux.»
Il faut dire que depuis le succès de The Artist, Alexandra s’est retrouvée elle aussi sous les projecteurs… comme la femme du frenchy oscarisé. Mais ce rôle, Alex le revendique volontiers. «
Je suis la femme de Jean, j’accompagne mon mari. Je suis heureuse pour lui. Quand on aime quelqu’un, on est heureux pour lui, on n’a pas envie qu’il se plante. Je ne me sens pas comme une potiche, au contraire.»
Mariés depuis août 2009, Jean et Alex forment un couple solide, né au crépuscule de la série qui les a révélé en 2003.
Presque dix ans après, les rumeurs qui salissent tout ont tenté de souiller leur histoire,
expliquant à l’envi que les Dujarmy envisageaient la rupture. Ce qui a révolté Miss Lamy. «
Les gens ne peuvent pas s’empêcher de faire du mal. Peu importe ce qu’il se passe dans notre vie privée, cela ne regarde personne. Ce qui est terrible, c’est quand ça devient public. Déjà qu’en tant qu’acteur on donne beaucoup, on a l’impression qu’on nous prend tout. Je n’ai pas fait ce métier pour être connue.»
Et si d’aventure le message n’était pas suffisament clair, Alexandra fait en sorte qu’il le soit. «Foutez nous la paix dans notre vie privée, cela nous regarde!» A bon entendeur.