EXPO : BLIND LEMON

EXPO : BLIND LEMON

Du samedi 20 avril au samedi 25 mai.

Monarch
 
1/ Le Monarque (Danaus plexippus) est un insecte lépidoptère de la famille des Nymphalidae, de la sous-famille des Danainae et du genre Danaus. C’est un papillon migrateur qui est célèbre en Amérique car il y migre en groupes de millions d’individus sur plus de 4 000 kilomètres, deux fois par an, d’août à octobre vers le sud (surtout au Mexique), et au printemps vers le nord. 
2/ The Monarch Club, The Castle of Missing Men, Memphis, Tennessee.
 
The 30th song
Un cadeau au Diable.
 
Big Ol’ 
Une expression de "red necks", ploucs du sud des USA pour donner de l’importance à un nom. Exemple : "that’s a big ol’ truck" comme pour dire "c’est un super camion" !
 
Beale Street
Une rue de Memphis, Tennessee ou La rue de Memphis, Tennessee. Lost in Chakigo Comme une soeur jumelle ou un reflet à peine déformé, peut-être l’autre côté du miroir...
 
Tools of blues
Le terme blues vient de l’abréviation de l’expression anglaise blue devils ("diables bleus"), qui signifie "idées noires". Les plus anciennes formes de blues proviennent du Sud des États-Unis, à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Ces formes étaient le plus souvent orales, accompagnées parfois par un rythme donné par des instruments rudimentaires. C’est principalement dans les champs de coton de la région du delta du Mississippi (entre Senatobia et Clarksdale) que ces formes prennent des tours plus complexes. L’une des formes antérieures au blues est le Fife and Drums joué dans la région Hill Country du Mississippi (il s’agit d’un ensemble de percussions guidé par un fifre en bambou, instrument que jouait le maître en la matière, Othar Turner). Il y eut d’autres formes de blues avec des instruments rudimentaires, le diddley bow, une corde fixée sur une planche, le jug, cruchon en terre dans lequel on soufflait. Puis le blues a évolué avec des instruments simples, tels que la guitare acoustique, le piano et l’harmonica. La légende raconte que l’un des guitaristes bluesmen, Robert Johnson, aurait signé un pacte avec le diable ce qui lui aurait permis de devenir un virtuose du blues (blue devils : c’est une musique liée aux forces maléfiques qui était fuie et rejetée par beaucoup de personnes aux États- Unis).
 
Walkin' / Walk-in
And I started a-walkin, I’m gonna walk from sun to sun Well I started a-walkin’, I’m gonna walk from sun to sun I’m gonna keep walking, until my time is done (…)
 
 
Walkin’ blues de Son House / Alter ego
Trouble dissociatif de l’identité
Réincarnation
Possession de l’esprit
 
Sans titre : Oeuvre non nommée
 
Ouvert du mercredi au samedi, de 15h à 19h
 
Néon - diffuseur d’art contemporain - 41, rue Burdeau Lyon 1er - Tél. : 04 78 39 55 15
 
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