Au PKS (Parti de la justice et de la prospérité, musulman conservateur), la plupart des femmes qui s'étaient portées candidates se sont retirées faute d'avoir obtenu l'autorisation de leur mari. Selon le magazineTempo, afin de faire de nouvelles recrues, les partis se tournent vers les athlètes et les chanteuses. Autre stratégie : ils proposent aux candidates des grandes villes, plus nombreuses, de déménager dans des régions reculées, dans lesquelles le quota n'est pas rempli. Face à ces difficultés, la commission électorale étudie la possibilité de modifier, de nouveau, les critères d'invalidation.
Source : www.courrierinternational.com