L’argent n’a pas d’odeur, c’est bien connu et chacun est appelé à faire un effort face à la crise, en Allemagne comme chez nous. Reste que le maire de la grande ville de Bonn a pris une initiative étonnante : les prostituées doivent désormais s’acquitter de la location de leur bout de trottoir via des « parcmètres du sexe ». A raison d’un forfait de 6 €, valable de 20 heures à 6 heures du matin, l’édile se félicite d’avoir ainsi renfloué les caisses de sa ville de 35 200 € en un an. Que les municipalités jouent les proxénètes peut sembler un procédé plutôt douteux…