“Murda Bizness” (ft T.I.), d’Iggy Azalea
Surnommée la « Lady Gaga du ghetto », la petite amie d’A$ap Rocky a la langue bien pendue et le flow dans la peau. Après Pussy, son hymne au minou, Murda Bizness, une torpille anti-minimiss.
“The Wheel”, de Sohn
Si on ne sait presque rien de ce Londonien qui vit à Vienne, ses pépites électro-soul font déjà le tour des blogs qui comptent. NB : un peu de patience, tout s’explique après une minute trente.
“Jersey”, de Granville
Cajolées par la voix mutine de Melissa, les chansons du quartet de Caen sont les nouveaux soleils de la pop française.
“Lies”, de Churches
Dans le sillage d’Icona Pop, le trio écossais a choisi les beats lourds et une voix de sirène pour faire bouger les masses.
“Pleurer et chanter”, de Tomorrow’s World
Moitié Lou Hayton (la claviste de New Young Pony Club), moitié Jean-Benoît Dunckel (la moitié d’Air), Tomorrow’s World nous trimballe entre glamour sombre et humeurs enfantines. Troublant.
“Orion’s Belt”, de Kitty Pryde & Riff Raff
Dans la famille des ghetto-hipsters, on demande la rouquine preppy de 16 ans, pronostiquée petit génie du rap tout mou.
“Shelter Song”, de Temples
Comme Tame Impala, quatre Anglais à la gueule d’ange renouent avec les chemises à fleurs et la mescaline. Objectif : ressusciter les Byrds.
“In your Eyes”, de Kate Boy
Kate Akhurst et ses boys prennent la vague de l’électro catchy (et cheesy) surfée avant eux par MS MR et Saint Lou Lou.
“Je bois et puis je danse”, d’Aline (Gambit remix)
Résolument tournée vers les 60s, la pop des quatre Marseillais ravive les mélodies guimauves et le chant en bon français.
“Killing Switch”, de Last Lynx
Avec ses arrangements aquatiques et sa rythmique acidulée, le groove velouté du quintette suédois est taillé pour l’hiver en bord de mer.
Source : www.madame.lefigaro.fr