Comment twister ses basiques ?

Comment twister ses basiques ?

Une queue de cheval toute simple et sans relief, une tresse bien ordinaire… Pour bousculer son hair look habituel, on envoie valser ses classiques et on les twiste d’une bonne dose de modernité.

C’est parti ! Le classique chignon de danseuse

Avant : c’était un peu notre marotte depuis la sortie de Black Swan, fin 2010. Avec lui, on se sentait presque aussi élégante que Natalie Portman un soir de première…

Après : deux ans, c’est bien long pour une it coiffure. Alors, pour redonner un peu de peps à ce joli -mais bien classique- chignon de danseuse, on le revisite en tressant les longueurs. Le concept reste le même : une queue de cheval basse, enroulée sur elle-même, mais donc nattée cette fois-ci. Et on passage, on ébouriffe légèrement le dessus de tête pour dédramatiser cette coiffure un brin trop sage…

Le carré sage

Avant : tout droit, tout lisse. Il manquait un peu de personnalité. Seule concession : le dégradé, juste devant pour encadrer le visage.Bof, on pouvait faire mieux…

Après : puisque le carré court est l’apanage des petites filles presque sages (et que de toutes façons on va avoir du mal à gagner de la longueur), autant jouer le jeu à fond ! Mais plutôt que d’opter pour le style petite fille modèle, on tente le look plus désobéissant de la frange ciselée, comme taillée au hasard, sans glace, mais avec une bonne paire de ciseaux…

La queue de cheval tradi

Avant : sagement lissée sur le dessus de tête (attention aux épis !) et accrochée avec un élastique : oui la queue de cheval avait tout bon… mais il était temps de la dévergonder un peu !

Après : on mise tout sur l’asymétrie ! Pour bien préparer la matière on crêpe sur le dessus de tête puis on crée une légère coque joliment bombée.  On ramasse ensuite ses longueurs toujours à l’arrière de tête, mais plus sur le côté cette fois-ci et on attache à l’aide d’un élastique à crochets. Les longueurs ne doivent surtout pas être raides : on privilégie plutôt une matière wild, totalement rock.

La tresse toute simple

Avant : elle tombait bien droit dans le dos. Puis elle s’est acoquinée avec le chignon et s’est retrouvée entremêlée au dessus de nos têtes. Et maintenant, elle fait quoi ?

Après : et bien elle ne sert désormais plus… que de simple (mais précieux) support ! Désormais, la tresse (très serrée) est portée uniquement pendant la nuit et sur des cheveux tout juste séchés. Au réveil, on dénoue simplement les longueurs au doigt, et hop, on se retrouve avec une matière joliment ondulée ! Évidemment, on évite d’attacher la matière et on crée juste une raie au milieu.

Le bun ordinaire

Avant : après la sortie de douche et le cours de danse, le chignon bun s’est démocratisé jusque dans la rue. Pas une seule it girl ni une actrice ne déambulait sans lui ces derniers temps…

Après : ça c’était en 2012. Cette année, on donne un peu plus de piquant à cette coiffure finalement ultra basique en cassant son côté un peu trop rigide (cheveux tirés, bien plaqués, et bun tout en rondeur). L’idée : l’attacher très grossièrement en prenant soin de le décentrer légèrement, de laisser des mèches folles s’en échapper et de le nouer avec ce qui nous tombe sous la main : un foulard pour les plus classique, une chute de tissu lamé pour les plus aventurières…


Les sobres cheveux longs

Avant : on les portait bien sagement, avec la raie au  milieu. Pas question de cacher ou d’attacher ces longueurs que l’on avait mis tant de temps à faire pousser !

Après : allez, on bouscule ses habitudes ! Et pour s’offrir un petit carré sans sacrifier ses précieuses longueurs justement, on les rentre tout simplement dans le col de notre pull, en laissant quelques mèches voler autour des contours du visage. C’est simple, c’est pratique et l’illusion d’optique parfaite !

Source : www.grazia.fr

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