Qu’aimez-vous dans le milieu du covering ?
C’est de rentrer dans une bulle. Quand je commence à toucher la matière et à l’appliquer sur les véhicules, je rentre un peu comme sous hypnose. J’oublie un peu mes soucis et je laisse finalement mes mains être guidées par ce qu’elles ont envie. Changer l’aspect de ces voitures ça m’apaise !
C’est un milieu très masculin…
Il est vrai qu’au commencement de mon entreprise, les clients ne m’adressaient aucun regard. J’étais très frustrée. J'ai malheureusement dû travailler deux fois plus pour me faire voir et entendre.
Quels sont vos projets pour 2024 ?
J’aimerais lancer mes formations en ligne pour promouvoir le covering et le rendre beaucoup plus accessible.
Les qualités nécessaires aujourd’hui en tant que femme ?
Il faut arrêter de se mettre des barrières. Notre plus gros problème à nous les femmes c’est qu’on s’auto-sabote. C’est vraiment prendre confiance en soi, en ses capacités et simplement faire le premier pas.