Le maillot de bain est la star des garde-robes pour faire sensation sur la plage ou au bord de la piscine. Marion Coquel, 26 ans, l’a bien compris et a lancé il y a quelques mois Bayadji (mélange de Bangkok et Djibouti, deux villes dans lesquelles la jeune femme a vécu).
Titulaire d’un Master en marketing, Marion Coquel a été séduite par l’idée d’avoir sa propre marque après un stage de six mois chez la Maison Lejaby. Le confinement aura raison de son changement de voie. Le projet commence à voir le jour en septembre dernier. Le lancement se fait quelques mois plus tard en avril. "Je ne voulais pas louper le coche de cet été", explique l’entrepreneuse lyonnaise.
"La différenciation de Bayadji c’est surtout de jouer sur les motifs et les textures", poursuit Marion Coquel qui travaille avec une styliste lyonnaise. "J’ai des idées générales et elle me fait ensuite des propositions". La production des maillots de bain se veut éco-responsable avec des matières éco-sourcées et une fabrication made in France à Marseille.
"Je n’ai rien contre la simplicité mais ce n’est pas l’ADN de Bayadji" tient à préciser Marion Coquel. "Les différents coloris ont des noms de villes (Bangkok, Djibouti, Londres…). Ce sera toujours comme ça pour les prochaines collections. Je m’inspire de mes voyages pour créer les collections", ajoute la créatrice de Bayadji dont la prochaine collection proposera à l’automne des pyjamas avec toujours une production responsable.