Cette jeune rappeuse de 24 ans, aux allures de petite fille sage, a su s’affirmer et faire parler d’elle. Depuis quelques mois, Chilla enchaîne les apparitions télévisées et les interviews. En effet, l’artiste a su se démarquer grâce à ses textes engagés, sa personnalité et sa détermination. Une rappeuse pas comme les autres, qui a su séduire un public éclectique à travers un univers bien à elle. Une fierté pour les lyonnais, quand on sait que Chilla décrit Lyon comme la ville qui lui a donné la chance de pouvoir réaliser ses rêves…Lyon Femmes a pu interviewer cette talentueuse artiste afin d'en connaître un peu plus sur elle.
Chilla, peux-tu te décrire en quelques mots…et d'ailleurs pourquoi Chilla ?
Je suis de nature très passionnée, investie dans mon art mais aussi auprès des personnes qui m’entourent. Je suis sensible à l’Humain, le social, de façon générale. Pour ce qui est de mon nom d'artiste, je ne souhaitais pas utiliser mon véritable nom, j’ai trouvé que Chilla, me ressemblait bien, sur l’aspect
Chill et détente. De plus,
Chill est un mot que j’emploie souvent, pour ces raisons, c’était comme une évidence.
Que dirais-tu sur Lyon, la ville qui t’a révélée ?
C’est une ville paisible à taille humaine, ma ville de cœur ! Je me suis sentie très rapidement chez moi. En 4 ans à Lyon et je peux vous dire que cette ville a été l’endroit où je me suis construite en tant que jeune femme où j’ai découvert les responsabilités, l’indépendance, de me révéler, de m’émanciper. C’est aussi, ici où j’ai commencé le rap et mes premières Je travaille énormément sur Paris malheureusement je ne peux pas revenir à Lyon souvent mais dès que j’en ai la possibilité, je reviens.
Peux-tu nous donner ton bon plan lyonnais ?
Mon bon plan est un petit restaurant Thaï, dans le 7ème ardt, au 14 Rue de la Thibaudière. Je m’y rendais souvent lorsque je vivais à Lyon. C’est une cuisine familiale et conviviale que je conseille vivement !
Parlons un peu de ta carrière…Quelles ont été tes motivations à devenir chanteuse et plus particulièrement du rappeuse ?
La musique a toujours fait partie de ma vie. Mes parents étaient musiciens. J’ai toujours eu cette volonté de me développer autour de cet Art. C’est pour ça qu’à l’âge de 15 ans, je suis partie en cursus aménagé dans l’objectif d’en faire mon métier. Côté rap, c’est un genre de musique que j’écoute depuis petite, c’est aussi là où j’ai trouvé ma liberté artistique, mon univers. Concernant Lyon, je dirais que cette ville a joué un rôle important dans ma motivation, elle m’a permis de croire en mes rêves car ici tout me semblait possible par rapport à Genève.
Au vue de certains de tes textes, peut-on dire de toi que tu es une artiste engagée et féministe ou veux-tu rester indépendante de cette image ?
Pour être honnête, non, je ne souhaite pas que l’on m’assimile à une artiste féministe. J’ai des points de vue, des valeurs, des positionnements et je suis engagée sur une multitude d’autres sujets comme le racisme, les injustices, tout autant que le sujet des femmes. Si je faisais des chansons uniquement féministes, ça serait « oppressant » pour moi car cela limiterait mon univers. Par exemple, mon titre
« Sale chienne » (voir ci-dessous), était un moyen de me faire justice en réponse aux commentaires haineux sur internet. Le féminisme n’est donc pas le sujet sur lequel je souhaite rythmer mon identité musicale.
Si tu devais faire un duo avec un/une artiste, lequel ça serait ?
Si je devais faire un feat, ça pourrait être avec Damso et Orelsan, d’un point de vue français. Ce sont des artistes que j’admire vraiment, leur musique me parle. Ça serait le top !
Quelles sont tes prochaines dates sur Lyon ? Et où peut-on venir te voir ?
Le Mardi 22 Mai au Ninkasi à l’occasion de
l’Urban week.
https://youtu.be/oFw0kYdqj8g
Retrouvez Chilla sur la scène du Ninkasi demain soir à 20h30
Parlons un peu de ta carrière…Quelles ont été tes motivations à devenir chanteuse et plus particulièrement du rappeuse ?
La musique a toujours fait partie de ma vie. Mes parents étaient musiciens. J’ai toujours eu cette volonté de me développer autour de cet Art. C’est pour ça qu’à l’âge de 15 ans, je suis partie en cursus aménagé dans l’objectif d’en faire mon métier. Côté rap, c’est un genre de musique que j’écoute depuis petite, c’est aussi là où j’ai trouvé ma liberté artistique, mon univers. Concernant Lyon, je dirais que cette ville a joué un rôle important dans ma motivation, elle m’a permis de croire en mes rêves car ici tout me semblait possible par rapport à Genève.
Au vue de certains de tes textes, peut-on dire de toi que tu es une artiste engagée et féministe ou veux-tu rester indépendante de cette image ?
Pour être honnête, non, je ne souhaite pas que l’on m’assimile à une artiste féministe. J’ai des points de vue, des valeurs, des positionnements et je suis engagée sur une multitude d’autres sujets comme le racisme, les injustices, tout autant que le sujet des femmes. Si je faisais des chansons uniquement féministes, ça serait « oppressant » pour moi car cela limiterait mon univers. Par exemple, mon titre « Sale chienne » (voir ci-dessous), était un moyen de me faire justice en réponse aux commentaires haineux sur internet. Le féminisme n’est donc pas le sujet sur lequel je souhaite rythmer mon identité musicale.
Si tu devais faire un duo avec un/une artiste, lequel ça serait ?
Si je devais faire un feat, ça pourrait être avec Damso et Orelsan, d’un point de vue français. Ce sont des artistes que j’admire vraiment, leur musique me parle. Ça serait le top !
Quelles sont tes prochaines dates sur Lyon ? Et où peut-on venir te voir ?
Le Mardi 22 Mai au Ninkasi à l’occasion de l’Urban week.
https://youtu.be/oFw0kYdqj8g
Retrouvez Chilla sur la scène du Ninkasi demain soir à 20h30